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13 août 1944, le massacre de Tourouvre -  - Gérard GOSSET auteur - Voir en grand
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    En vente :

    Tourouvre-au-Perche : Tabac-Loto-presse (20, Rue du 13 août 1944) et Muséales (15, Rue du Québec)

    Mortagne-au-Perche : Librairie Majuscules (48, Place du Général de Gaulle)

    Soligny-la-Trappe : Abbaye de la Trappe (Lieu-dit La Trappe)

    En ligne (copier ce lien dans votre navigateur) : https://tourouvre13aout1944.fr/le-livre/

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    Un ouvrage collectif avec le Comité Scientifique Les Passeurs de Mémoire, Tourouvre le 13 août 1944, composé de : Jocelyne MARTIN, Béatrice DEVEDJIAN, Fabienne DEMEULE, Jean-Edouard GUEUGNON, Gérard DEVISE, Guy MONHEE, Jean-Vincent du LAC de FUGERES, Jonathan STANIC, Colonel Yves DUPREZ, Michel GANIVET, Benoït POHU et Gérard GOSSET.

    Des Allemands du détachement S.S. 57766 C appartenant à la Division Hitlerjugend (jeunesse Hitlérienne) occupaient L’Abbaye de La Trappe à Soligny de novembre 1942 à février 1943. Ils quittent le lieu en début mars pour la Russie, puis reviennent en avril 1944. Du début août au 12 août 1944, 3 hôpitaux allemands s’installent à L’Abbaye. Les S.S. partent de l'Abbaye pour Tourouvre.

    Après le Débarquement, alors que les Alliés progressent, la résistance locale, s’organise et attaque de plus en plus fréquemment les troupes ennemies. Les soldats nazis, eux, reçoivent ordre de ne laisser aucune forme de rébellion s’exprimer. Le 13 août 1944, le corps d’un soldat allemand est retrouvé, dans la maison « Charles », du centre-ville, désormais Kommandantur.

    Ce cadavre est le déclencheur, les S.S. vont se venger contre la population. Des renforts arrivent dans le bourg. Ils encerclent le village, envahissent les maisons, fusillent la population, incendient les habitations. Ils prennent plus d'une soixantaine otages. Cela va durer toute la nuit. Un des otages, Robert Guerrier (prisonnier en Allemagne à la première guerre mondiale), va passer une grande partie de la nuit à parlementer avec les Allemands et réussir à obtenir la libération des otages, le lendemain.

    L'unité de la Hitler Jüngend, 3e Compagnie d’Artillerie, a fait reculer les limites de la violence. Comme dans toutes les villes martyres, la raison s’égare devant une telle abomination.

    Le massacre du 13 août 1944 par ces S.S. : 18 victimes (tuées à la grenade, au révolver ou fusillées à la mitraillette), au moins 19 blessés dont 9 graves (dont une jeune fille aveugle à vie), 57 maisons incendiées et 184 habitants sans abris !. Tandis qu'un vieillard handicapés dans une cave ou le feu était au-dessus, est retrouvé le lendemain sain et sauf.